Incidence des institutions de la microfinance : dans la lutte contre la pauvreté ; cas de l’ADVANS/CONGO
DOI:
https://doi.org/10.5281/zenodo.13370333Keywords:
RDC: République Démocratique du Congo 1,MECRE : Mutuelle de l'épargne et de crédit 2 ; COOPEC: coopérative d’épargne et de crédit 3 ; FINCA: foundation for international community assistance 4 ; IMF: institution de microfinance 5 ; ADVANS : advanced configuration and power interface 6.Abstract
ce papier porte sur l’incidence des institutions de microfinance : dans la lutte contre la pauvreté ; cas de l’ADVANS/CONGO. La présente recherche se focalise autour d'un seul objectif qui se focalise sur l'évaluer l'incidence des microcrédits octroyés par l’ADVANS/CONGO sur les conditions de vie des populations bénéficiaires.
Il existe d’une part, une économie formelle représentant une faible proportion du tissu économique, capable de recourir aux sources classiques de financement que sont les banques et les marches financiers; il suit la règlementation existant sur le marché des biens et services, autrement dit, il est un système qui est régi par la loi ;
Et d’autre part, nous avons l’économie informelle qui est celle, qui s’échappe à la loi qui oriente le marché des biens et services ; cela est dû au manque de pouvoir d’achats consistant pour faire face aux conditions qui sont édictées.
Pour cela, cette population pauvre qui, par manque de ressources nécessaires pour créer une activité génératrice de revenu, et aussi vis-à-vis d’un revenu moindre, manque en outre comment épargner après la consommation, reste alors une difficulté, à laquelle la solution doit être donnée.
En ce sens, la microfinance est donc comprise comme étant un moyen de lutte contre la pauvreté dans les pays en développement, à travers le financement des activités génératrices des revenus, pour les ménages pauvres, et/ou les ménages à faibles revenus.
Cela étant, nous avons fait nos analyses à l’aide du logiciel Stata 15. Après analyse, nous avons abouti aux résultats selon lesquels : Y1 = sexe ; Y2 = âge ; Y3 = Evolution activité ; Y4 = Durée crédit ; Y5 = Taux d’intérêt ; Y6 = Difficultés rencontrées ; Y7 = Appréciation des services ; Y8 = Autonomisation des activités. Sont des variables qui déterminent l’impact des institutions de la microfinance dans la lutte contre la pauvreté.
Hormis l’introduction et la conclusion, la présente étude est subdivisée en quatre points dont le premier porte sur la revue théorique de la microfinance et pauvreté ; le deuxième sur la revue empirique, le troisième sur le contexte et la méthodologie de l’étude, en fin le dernier sur la présentation et l’interprétation des résultats.